D’Antigua aux bancs d’école

Après l’ascension du volcan Acatenango, quelques jours de repos dans la merveilleuse citée coloniale s’impose. C’est aussi l’occasion d’organiser concrètement 2 semaines de cours d’espagnol à San Pedro La Laguna, au bord du lac Atitlan. Voici le récit de nos 20 derniers jours sur le sol guatémaltèque. 

Fondée en 1543, l’ancienne capitale du pays est entourée de volcans et ne manque pas de charme. On est dans une bulle, dans un autre monde a des années lumières de la capitale. Depuis 2 tremblements de terre successifs en l’an 1’773, la ville est parsemée de ruines. On visite les restes de la cathédrale Saint-Joseph, plusieurs couvents et on zieute l’artisanat local le long des innombrables rues pavées . Les douleurs musculaires se font ressentir mais l’air est doux à l’instar de la ville. 

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Sur le toit du Guatemala

Il serait incomplet de visiter le pays sans faire l’ascension de l’Acatenango. Le volcan, qui domine la ville coloniale d’Antigua, culmine à 3’976 mètres et le défi est de taille. Tout commence la vieille à San Jose Calderas, un petit village isolé où notre guide a élu domicile. 

L’ascension se fera en quatre parties, toutes plus ou moins difficiles. Dès nos premiers pas, nous suivons un chemin de terre en pente raide durant une grosse heure. Nous fixons le sol afin de tromper nos cerveaux et faisons déjà le deuil de nos mollets respectifs. Et la suite ne sera pas bien différente. Nous traversons ensuite une forêt humide où les nuages s’enlacent aux arbres et prenons rapidement de l’altitude. Puis soudain, toute la vallée s’offre à nous, comme une première récompense. 

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Le long du fleuve doux

Livingston est une citée perdue qui se situe à l’embouchure du fleuve Rio Dulce, uniquement accessible par bateau. Peuplée de Garifunas, une ethnie issue du métissage entre des esclaves africains évadés et les autochtones, leur nom signifie « mangeur de manioc » en arawak.

Livingston est une petite ville où souffle un vent pacifique et où la vie s’écoule selon le fuseau horaire caribéen, c’est-à-dire très paisiblement. On mange du poisson accompagné de riz à la noix de coco et de bananes plantains, on boit du rhum Garifuna, on se baigne et on se ballade dans les rues étroites de la cité. Décidément, la vie est un long fleuve tranquille. 

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De Flores à l’ancienne citadelle de Tikal

Après plus de deux mois passés au Mexique, nous voilà enfin au Guatemala, le pays du Quetzal. On ne sait pas à quoi s’attendre mais on a envie de tout voir… ses volcans, ses fleuves, ses sites archéologiques et plein d’autres choses encore. Moteurs, action ! 

Pandémie oblige, Florès s’est vidée de ses touristes. Si l’île à elle seule présente finalement peu d’intérêts, il est tout de même intéressant d’y observer la vie locale de se balader en kayak sur le lac Petén Itzá. 

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