En résumé

Le Costa Rica, fidèle à sa réputation, n’a pas manqué de nous émerveiller par la richesse de ses paysages mais surtout par la diversité de la faune et de la flore qu’il abrite.

Si nous avons boudé les incroyables plages du pays, nous avons largement profité des impressionnantes forêts et parcs nationaux abritant de nombreuses espèces d’oiseaux, de reptiles, d’insectes bien sûr, mais surtout de singes et de paresseux.

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S’il a parfois été difficile de traverser la pays en raison du coût exorbitant des transports (parfois peu développés qui nécessitent de louer des véhicules ou prendre le taxi), des hôtels et de la nourriture, nous n’avons cependant pas eu à regretter notre séjour.

On peut tout d’abord relever, après avoir traversé l’Amérique centrale et ses nombreuses déchetteries à ciel ouvert, que le pays est d’une propreté exemplaire. Les locaux respectent la nature et ça se voit. Nous avons été ravis de pouvoir visiter des forêts sans avoir à y trouver tous types de déchets lâchement abandonnés par leurs propriétaires.

Au Costa Rica, nous avons appris que la survie est un combat et que chaque espèce redouble d’ingéniosité pour y parvenir. Nous avons rencontré des plantes capables de se cacher des prédateurs en rabattant leurs feuilles, des arbres susceptibles de se déplacer pour profiter du moindre rayon de soleil indispensable à leur survie et de nombreuses variétés élisant domicile sur leurs congénères pour pouvoir se développer à la lumière.

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Nous avons également appris que certaines d’entre elles sont capable de se développer sur leur hôte durant de longues années afin de l’entourer, de l’étrangler et de l’anéantir définitivement.

Le Costa Rica, c’est également de nombreuses espèces de mammifères qui peuvent profiter d’un immense territoire vierge pour se développer mais qui se retrouvent fréquemment blessés ou tués lors d’une rencontre fortuite avec les activités humaines.

Ces animaux peuvent alors compter sur l’aide des nombreux centres d’accueil présents dans tout le pays, de leurs vétérinaires et de leurs bénévoles. Nous avons eu la chance de travailler dans un de ces centres et d’être témoins de l’immense travail effectué pour secourir les animaux blessés et, parfois, pour offrir une nouvelle vie à des espèces sauvages adoptées par des êtres humains sans vergogne inconscients de l’impossibilité de les transformer en animaux de compagnie.

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